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Par Mâyâlîlâ le 26 Septembre 2024 à 18:28
Pour faire suite à ma précédente publication, nous voici revenus, avec un rayon de soleil, au bord de ce grand lac si agréablement aménagé, qui semble jouir de beaux sentiers balisés et peu dénivelés pénétrant dans des bois.
Mais avant d'y parvenir, je suis le rivage en laissant le lac sur ma gauche, me demandant s'il est possible d'en faire le tour.
Il semble cependant bien trop immense pour que cela soit possible.
En fait lorsque nous arrivons au bout de ce rivage nous empruntons une digue qui sert de barrage au lac et parvenons à une grille qui clôt le site : les bois aperçus en face appartiennent à l'extérieur et sont accessibles par d'autres routes.
(La grille est au bout du chemin que vous voyez ci-dessous vers la gauche).
Donc rebroussant chemin nous continuons en face, découvrant ce panneau séduisant qui nous rabat vers notre droite.
Le sentier plonge dans le bois, mais se heurte lui aussi à une grille (que vous apercevrez si vous agrandissez la photo), qui nous fait remonter encore sur notre droite et ainsi revenir sur nos pas.
Nous arrivons dans un espace boisé situé sur la colline derrière le petit snack, où des panneaux signalent les particularités de certains arbres et esquissent un parcours de santé.
C'est très joli, reposant, avec une jolie vue sur le lac à notre droite. En fait cette colline est couronnée de petits gîtes construits en surplomb et qui doivent fourmiller de vacanciers à la haute saison.
En fait nous avons simplement contourné le terrain de football que l'on aperçoit en contrebas.
Le chemin va nous reconduire petit à petit vers le parking situé au-dessus du snack dont on aperçoit ici un premier cabanon.Et sous le soleil, en l'absence d'une foule de touristes, comme cela paraît sympathique !
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Par Mâyâlîlâ le 23 Septembre 2024 à 22:18
Le Lac de Miel, auprès duquel nous logions, était le but qu'avait recherché ma compagne en choisissant cette destination : et il faut dire que la page qui lui est consacrée ici est plus que séduisante ! Il y était notamment question d'un accès privilégié pour les handicapés, et d'un sympathique bar de bord de plage.
Pour ma part, habituée à des campings toujours flanqués de petits restaurants pratiques, même en septembre et même en Bretagne, j'étais arrivée le premier soir avec la certitude que nous y dînerions - sans chercher plus de renseignements sur le net.
Quelle ne fut pas ma déconvenue quand, épuisée par une arrivée compliquée avec une chaise de malade à aller chercher à la pharmacie après avoir déposé mes bagages, puis tout notre logis à installer, je découvris un lieu sinistre, un immense parking désert sans aucune indication de passage pour une chaise roulante, mais plutôt arborant des barrières de bois s'ouvrant en chicane sur des escaliers descendant d'un bon étage vers le bord de l'eau ; aucun panneau annonçant le moindre bar, rien de tel en vue, l'eau grise et le ciel gris donnant l'impression que la nuit tombait alors qu'il était 19 heures et que nous n'étions que le 31 août ! Il fallut retourner à Beynat où, heureusement, un petit bar transformé en discothèque nous accueillit avec quelques brochettes dans une atmosphère exubérante qui me rendit le sourire.
Du coup, le temps se mettant à la pluie et devenant de plus en plus froid, je n'avais plus mis les pieds au bord du lac, jusqu'à la veille de notre départ où, soudain lasse de promener Indya dans des chemins rocailleux et en pente menant la plupart du temps à des prés remplis de vaches, je profitai du retour du soleil pour l'y emmener, imaginant que le terrain y serait meilleur.
Et c'était vraiment le cas ! Non seulement je découvris un immense espace de promenade, mais en plus à la faveur de l'amélioration de la météo je ne pus que me lamenter de n'être pas arrivée là une semaine plus tôt pour profiter des aménagements parfaits en effet pour l'accueil des handicapés, comme du charme du joli bar de plage que je n'avais pu apercevoir le premier soir.
Derrière ce panneau sidérant on distinguait le fameux bar, qu'il était possible pour les handicapés d'approcher en voiture par une route spéciale accessible avec un code à demander au préalable, puis avec une chaussée pour les fauteuils roulants.
Enfin j'aperçus cette rampe permettant la descente pour les personnes à mobilité réduite !
Bien sûr, tout était détrempé, gorgé d'humidité, et ne donnait nulle envie d'aller se mouiller même le bout d'un orteil.Cependant, comme vous le verrez sur cette vidéo, d'autres « baigneurs » avaient pris la relève, dont les bavardages animés attirèrent l'attention d'Indya !!
Un bel espace de promenade s'ouvrait sur le côté, que je n'avais pas soupçonné. Vous le découvrirez plus amplement dans une prochaine publication.
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Par Mâyâlîlâ le 21 Septembre 2024 à 19:17
Voici donc la conclusion de notre excursion vers Gimel-les-Cascades : notre retour à Beynat en passant par la Vallée de la Dordogne.
Nous traversâmes un village dont l'église me plut pour son clocher assez représentatif des clochers locaux : Saint-Martin-la-Méanne.
Puis, après une descente assez raide vers une route sombre et humide en bordure d'un grand lac, nous parvînmes au barrage du Chastang, qui effectivement enjambe la Dordogne en lui infligeant une importante retenue vers l'est, mais sans avoir rencontré de paysages évoquant des gorges.Voici cependant un aperçu plutôt séduisant du site, par cette photo aérienne que j'emprunte au site noté ci-dessus en lien. Il faut dire que nous ne jouissions pas du temps idéal.
Arrivées par le bas de la route de droite, nous avons traversé le barrage et nous sommes arrêtées sur la gauche, d'où je suis allée prendre cette photo :
Le ciel étant vraiment maussade, les couleurs manquaient de vivacité et ce qui me plut surtout c'était ce reflet parfait de la végétation et du ciel dans l'eau du lac.
Ensuite nous sommes reparties par la route bordant la rivière (à gauche sur la photo aérienne, car la route principale offre vite de la rejoindre), et voici ce que je n'ai pas pu m'empêcher de photographier quelques kilomètres plus loin :
Une bien jolie propriété, en style local et dans un décor de rêve !
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Par Mâyâlîlâ le 19 Septembre 2024 à 19:26
Voici ce que l'on aperçoit de l'endroit d'où partent les chemins de découverte des cascades, en regardant vers le haut. Passé le petit pont très étroit qui enjambe le ruisseau dévalant la montagne, on se trouve face à une rude montée qui mène au village perché bien au-dessus et où en principe les visiteurs vont se garer avant de redescendre à pied, souvent bien équipés de chaussures et de bâtons.
Un parking surplombe l'immense vallée, placé juste devant cette jolie balustrade sur laquelle j'ai trouvé cette carte d'orientation :Avec ces précisions :
Mais voici plutôt le panorama lui-même :
Derrière moi j'ai ensuite avisé cette petite chapelle, très attirante parce qu'inattendue et bien restaurée.
Elle porte cette plaque explicative :
L'intérieur est très sobre.
De là je décidai de filer vers ce que je croyais être les Gorges de La Dordogne afin de revenir à notre point de départ par une jolie boucle.Mais ceci fera l'objet du prochain article.
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Par Mâyâlîlâ le 14 Septembre 2024 à 17:28
Si je vois aujourd'hui que j'aurais dû me renseigner sur internet avant mon départ, j'avais manqué de temps pour le faire et avais compté sur la carte routière commandée pour m'indiquer les sites à visiter, comme je l'ai fait généralement jusqu'à présent. En effet, sachant notre difficulté à nous déplacer à pied, je vise en principe des circuits à faire en voiture.
Nous avions visité Collonges-la-Rouge et le Gouffre de Padirac qui n'étaient pas loin par le passé, heureusement, et là je repérai surtout des cascades et après celles de Murel, celles de Gimel. C'est le GPS qui nous y mena sans difficulté, mais n'ayant pu trouver d'informations préalables je suis allée de surprise en surprise, et cette fois encore, n'ai pas vu les cascades proprement dites...
Le fait d'arriver hors saison nous fut certainement très avantageux, car il me permit de me garer dans le creux des rochers, en contrebas du village où normalement il aurait fallu monter. Voici ce que je découvris d'abord, avec Indya à mes côtés.
Et juste au-dessus de ma voiture : un rocher couronné d'une statue de la Vierge !
Un autre rocher juste derrière, sur la route par laquelle nous étions arrivées, puis le Rocher de la Vierge vu de loin avec une entrée du site :Voici ce que je découvre en descendant le long du ruisseau, la laisse d'Indya dans la main droite et mon téléphone allumé dans la main gauche...
La traversée du village lui-même fera l'objet d'un prochain post.
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